Trahison de confiance

Il ya toujours quelque chose qui nous dérangé plus sur le cannibalisme n’est pas seulement un homicide. Dans les deux cas, la victime est morte, mais la consommation du cadavre multiplie le niveau social de dégoût par un facteur important. Il est non seulement notre sens esthétique, mais aussi upends la notion de communauté. Une société civile a besoin d’un seuil minimum d’empathie et de confiance entre les gens, absolue et sans tabous sociaux et les normes juridiques contre cette conduite, d’un contrat social durable serait vraiment difficile à réaliser.

C’est un grand saut de là à notre meurtre et de l’alimentation des animaux non-humains, mais une espèce de cruauté à Hawaï a mis en lumière cette semaine m’a incité à réfléchir un peu plus sur nos relations sociales avec les autres animaux et élargir notre définition de la communauté.

Comme Nelson Daranciang du Honolulu Star-Bulletin rapporté hier, deux anciens employés de Hawaï Moanalua Golf Club-Saturnino Palting, 58, et Nelson Domingue, 43 ont été inculpés le deuxième degré et de vol au premier degré cruauté envers les animaux pour avoir volé une accusation Chien de l’un des membres du club, puis du découpage et de manger du chien, un 8 mois vieux berger allemand-Labrador mélanger.

Frank Manuma, le propriétaire du chien, apparemment, a eu la permission de quitter son chien Caddy à une cabane à proximité de l’équipement club house, alors qu’il a joué une ronde de golf. À son retour, le chien avait disparu, et plusieurs témoins ont signalé avoir vu les prévenus de prendre la fuite avec le jeune chien. Selon Manuma l’épouse, les deux plus tard avoué à la police qu’ils n’avaient en fait de tuer et de manger Caddy.

Hawaii est le dernier état à avoir adopté crime niveau peines pour cruauté envers les animaux, et ce cas est susceptible d’être la première poursuite en vertu de cette nouvelle loi.

Le vol et le meurtre de cette vulnérables, confiants chien était épouvantable. Mais oui, il l’a fait aggraver le crime, même si elle n’a pas aggraver les souffrances-pour les hommes d’avoir mangé ce chien. Nous avons mis au point des codes sociaux et juridiques pour protéger les chiens et les chats, et un animal épris de la société juste a une politique de tolérance zéro pour les gens de voler des chiens ou de chats et de ce qui en fait un ingrédient d’un ragoût. Nous avons des règles et des normes, et ces normes doivent être appliquées dans le monde réel.

En effet, notre société démocratique est en voie d’un plus vaste débat sur l’extension de ces normes, les lignes et peuvent obtenir un peu flous. Par exemple, les Américains ne mangent pas de chevaux, mais certaines personnes dans d’autres pays le font, et La HSUS a été de conduire les efforts visant à mettre fin à l’exportation de chevaux américains destinés à l’abattage pour la consommation humaine dans certains pays d’Asie et d’Europe.

Nos relations avec les animaux dans la société sont entachées de contradictions-nous professons être un animal épris de la société, et nous sommes capables de grandes philanthropie pour les animaux, mais nous vivons dans la présence d’énormes institutionnalisé la cruauté envers les animaux. Pourtant, la trajectoire du débat est clair: plus d’empathie, plus de compassion, plus de protections pour les autres êtres qui se sentent et souffrent comme nous le faisons. Lorsque les lignes sont claires et précises car elles sont, dans le cas d’Hawaii, la loi devrait parler, et résonnaient avec vigueur.

De la tragédie au triomphe

Le mois dernier, âgé de 11 ans Haley Ham du Tennessee a écrit au sujet de notre bien-aimé ses deux chiens, Sam and Jessie:

«À partir du moment où j’ai eu 7 et qu’il n’avait que 8 semaines d’âge, je savais que Sam appartenait à moi. Nous étions inséparables. Jessie était gros et affectueux. Il me suivre dans le quartier et quand j’ai visité mes amis il attendre de la Porte pour moi. Il était comme un tuteur. J’ai vraiment aimé, et je n’oublierai jamais sa fidélité à moi-même. “

Haley a ensuite signalé que malheureusement elle a perdu en avril dernier, ces deux meilleurs amis d’antigel empoisonnement. Dans sa lettre, at-elle poursuivi, “Sam and Jessie tellement souffert, je ne pouvais pas croire quelque chose d’aussi simple mortel a été vendu à presque chaque magasin.

Le coeur brisé, mais de faire quelque chose de déplacé, Haley lancé une campagne pour exiger un bittering être ajoutée à l’agent antigel vendus dans le Tennessee, faisant de la substance normalement sucré désagréable pour les animaux domestiques, les animaux sauvages ou les petits enfants. Cinq Etats ont déjà adopté une législation exigeant l’additif, et plusieurs autres envisagent de factures.

Dans la foulée de sa formidable perte, Haley écrit des lettres à tous les législateurs de son état et recueilli des centaines de signatures de soutien à son comté et équitable par le biais d’Internet pétition.

Sénateur Raymond Finney Etat a accepté d’aider. Il a présenté S.B. 2399, ce qui nécessiterait que l’antigel vendus dans l’état contenant le bittering agent. Rep Janis Sontany Etat a présenté le projet de loi compagnon, HB 2808.

Finney récemment assis avec Haley et sa mère, et HSUS Tennessee State Directeur Leighann McCollum, de planifier une stratégie pour le passage du projet de loi. Et hier, Haley pris la parole devant le Sénat lors d’une audition sur le projet de loi, et sert de page Sénat pour la journée.

Chapeau à Haley, un incroyable gamin d’une mission d’épargner à d’innombrables enfants et les animaux de souffrances horribles. En raison de ses efforts, aujourd’hui, Humane Society Youth nommé Haley ses SORTE Kid pour 2008. Nous espérons que son histoire inspire les gens de tous âges à son tour l’amour et de préoccupation pour les animaux en action.